89 mois – Caroline Michel

Synopsis : « J’ai trente-trois ans, ça y est. A quarante ans et des poussières, mon corps sera hors jeu. il me reste donc sept grosses années pour faire un enfant, soit deux mille sept cents jours. Que peut-on faire en deux mille sept cents jours ? Rien. J’en ai déjà mis cinq à construire trois meubles Ikea ».

Jeanne, célibataire, n’a qu’une obsession : devenir maman avant que le temps la rattrape. Elle a fait une croix sur le couple, il lui faut simplement un géniteur. Sa décision ne fait pas l’unanimité auprès de ses amis. Même si parfois elle doute, elle est déterminée à surveiller son cycle, à provoquer les rencontres et à lever les jambes après chaque rapport, sait-on jamais.

Mon avis : Ce livre fait écho aux projets de loi qui se font sur la possibilité d’avoir une aide à la procréation pour les couples homosexuels féminins et les femmes célibataires, même si ce livre n’est pas sorti cette année.

On y retrouve le parcours de Jeanne qui est prête à tout pour assouvir un projet de maternité qui est présent depuis un bout de temps et qu’elle compte bien maintenant mener à son terme. Et sa première intention n’est pas de se rendre en Belgique où en Espagne où la PMA est autorisée mais de passer par des rapports sexuels avec le premier venu qu’importe les risques derrière (qui soit y en passant peuvent mener à l’effet inverse puisque certaines IST mènent à l’infertilité !). Elle visite aussi des sites de petites annonces où des futurs parents sont soit à la recherche de généreux donateurs de sperms, soit proposent leurs services, mais ne s’aventure pas sur cette piste.

Elle ne s’inquiète pas de ce que peuvent ressentir les hommes avec qui elle couche pour essayer de tomber enceinte, pour elle la paternité ne les regarde pas, mais même si certains coups sont d’un soir où occasionnel, certains ne sont pas dupes.

Et que faire avec ce corps, qui malgré tout les efforts possible, ne veut pas procréer ? la encore le lien avec le cerveau et le corps est montré car plus on lui met la pression, moins il y aura de résultats, ce qu’à du mal à comprendre Jeanne quand son gynécologue le lui explique.

Sa vie lui en rajoute une couche puisque ses meilleurs amis et son ex vont devenir parents quand elle essaye désespéremment. Cette envie qui ne rassure pas du tout ses amis au vue des risques inconsidérés qu’elle prend.

Je vais m’arrêter la dessus. A la semaine prochaine !

La mélancolie du kangourou – Laure Manel

Résumé :

La naissance de Lou aurait pu être pour Antoine le plus beau moment de son existence. Mais la mort de Raphaëlle, son épouse qu’il aimait au-delà de tout, l’a brisé, et il a du créer un lien avec son bébé. Jusqu’à ce qu’il embauche Rose, une pétillante jeune femme à l’irrépressible joie de vivre, pour s’occuper du nourrisson. Parviendra-t-elle à aider Antoine à se révéler comme père et à se reconstruire ?

Mon avis : Ce livre a une longue histoire, car j’ai voulu l’acheter en juin en ayant plus d’une heure d’attente pour mon train de retour à Dijon. Je me suis rendue à la librairie Grangier et ne voulant pas tout bouger les avis posés dessus, j’ai pris celui du dessous, sans regarder la couverture… Et la surprise à la maison, ce n’était pas le bon, mais La délicatesse du homard, de Laure Manel également (livre que j’avais en audio livre déjà, et que j’avais reçu le même mois dans ma box Le Ptit Collis car je ne l’avais pas mis dans babelio…) trois exemplaires cela faisait beaucoup, et j’ai donc pu l’échanger en retournant à la librairie pour l’avoir une bonne fois pour toute.

Dans La Mélancolie du Kangourou, j’ai pu retrouver des similitudes avec le premier livre de Laure Manel, avec la présence d’une grossesse qui ne se passe pas comme prévue, d’un père qui en est blessé après, le deuil à faire par la suite. Mais cela s’arrête-là car les circonstances, les pertes ne sont pas les mêmes.

Le livre se lit assez facilement, avec des chapitres qui ne sont pas très gros, permettant de se dire facilement, encore un petit dernier où de faire une petite pause sans scrupule. Preuve en est je l’ai lu en deux jours, ayant commencé le soir, ma mère en une journée (sachant qu’elle lit rarement autant !).

Le fait que Rose, une des protagoniste, viennent d’un précédent livre (pour enfant d’après ce que j’ai compris) ne pose pas trop de problème à voir l’évolution à l’exception des moments où elle parle de son hospitalisation, de son passé et soit il en est trop dit, soit pas assez pour les personnes n’ayant pas lu La vie en Rose, ce qui est mon cas. C’est un des points négatif au livre. Je n’aime pas être sur ma faim et lire les livres dans le mauvais ordre ! Même si souvent quand cela arrive, l’écriture est faite de façon indépendante et permet de lire le livre sans trop de difficulté (je pense à Guillaume Musso par exemple) j’aime ne rien me faire spoiler pour le cas où je lirais le livre après où ne pas tout comprendre car tout n’est pas détaillé partant du principe qu’il y a un livre racontant les faits.

Sur ceux, à bientôt pour un nouveau livre.

La mémoire du thé – Lisa See

Résumé : Sud-Ouest de la Chine, année 1990. Sur le mont Nannuo, la culture des thés rythme depuis toujours la vie des Akha, un peuple aux méthodes de récolte archaïques et aux principes religieux très stricts. Li-Yan, la première de sa famille à savoir lire et écrire, rejette ces traditions et décide de poursuivre ses études malgré les réticences de la communauté. Mais lorsqu’elle doit faire face à une grossesse non-désirée, la loi Akha tombe et Li-Yan n’a d’autre choix que de tout abandonner – jusqu’à son enfant, qu’elle dépose sur les marches d’un orphelinat, accompagnée d’une galette de thé.

Les années passent, le souvenir de cette tragédie, la hante, tandis qu’à des milliers de kilomètres une jeune femme se lance à la recherche de ses racines.

Mon avis :

Le livre est prenant, j’ai pu découvrir une culture différente, avec des pratiques bien au-delà des nôtres, avec ce petit village qui vit bien loin des habitudes que l’on connait, on le voit évoluer dans le temps avec l’arrivée de la modernité mais un équilibre à trouver avec les traditions qui sont perpétrées. L’enfant unique qui n’a pas lieux, à la place on retrouve des pratiques faisant d’un enfant un rejet humain s’il est né hors-unions, s’ils s’agit de jumeaux… avec un sort terrible puisque les parents finissent par tuer le(s) enfant(s) avant d’être bannis.

La volonté de Li-Yan apparait très tôt pour combattre certaines des traditions et vouloir évoluer la poussant à trouver des solutions pour pouvoir être scolarisée avec l’aide de son instituteur. Qui l’aidera une grande partie de sa jeunesse, même quand ses études supérieures sont compromises. Malgré cette volonté d’éloignement, elle revient toujours à ses racines et se pose des questions sur ce qui aurait pu se passer si elle avait suivi scrupuleusement les lois Akha.

Sa mère est attachante, c’est une femme respectée par son statut de soigneuse et de sage-femme, elle se montre dure mais ira aider sa fille pour protéger sa petite fille, allant à l’encontre elle-aussi des coutumes et anticipant la vie de sa fille pour pouvoir lui venir en aide dès que possible.

Le livre m’a appris des choses aussi sur le thé, sa culture, les choix. C’est affolant de voir des prix de vente pour le thé, mais il est vrai que quand on aime un produit, on peut ne pas forcément compter pour en avoir de la qualité où le collectionner. Mais personnellement je n’irais pas jusque là d’autant plus que je ne bois pas de Pu’er (j’avoue pouvoir en boire un litre par jour, mes choix vont vers le thé noir parfumé bien souvent).

La vie de Yan-Yeh (la fille de Li-Yan) est également présent par petites touches, montrant la difficulté pour elle de s’épanouir par moments du fait de son adoption et de ses racines, les clichés ont la peau dure et une chinoise doit exceller, ce qui n’est pas simple pour elle.

En bref, ce livre est très bien écrit et nous transporte aisément dans un autre monde que le notre.

J’ai lu une grande partie des livres de Lisa See et je suis contente d’avoir eu celui-ci dans ma box du mois de Juillet ce fût une belle et bonne surprise.

Il est grand temps de rallumer les étoiles – Virginie Grimaldi

Résumé :

Anna, 37 ans, croule sous le travail et les relances des huissiers. Ses filles, elle ne fait que les croiser au petit-déjeuner. Sa vie défile et elle l’observe depuis sa bulle dans laquelle elle s’est enfermée.

A 17 ans, Chloé a des rêves plein la tête mais a choisi d’y renoncer pour aider sa mère. Elle recherche de l’affection auprès des garçons, mais cela ne dure jamais. Comme le carrosse de Cendrillon, ils se transforment après l’amour.

Lily, du haut de ses 12 ans, n’aime pas trop les gens. Elle préfère son rat, à qui elle a donné le nom de son père, parce qu’il a quitté le navire.

Le jour où elle apprend que ses filles vont mal, Anna prend une décision folle : elle les embarques dans un périple en camping-car, direction la Scandivavie. Si on ne peut revenir en arrière, on peut chosir un autre chemin.

Anna, Chloé, Lily. Trois femmes, trois générations, troix voix qui se répondent. Une merveille d’humour, d’amour et d’humanité.

Mon avis :

Ce livre s’est lu facilement en vacances, les chapitres courts permettent de se dire facilement, allez j’en lis encore un peu avant de me coucher. Une petite lecture bien agréable du coup.

L’histoire fait écho au statistiques montrant qu’une femme seule avec des enfants est souvent confrontés aux difficultés financières (mon côté prof qui ressort ahahah, comme dit mon frère je ne lâche jamais le boulot mais je n’y peux rien si ce que j’enseigne est tellement varié que j’arrive à trouver des liens souvent). Même si dans le cas d’Anna, elle se démène pour travailler quitte à avoir des horaires atypiques ce qui est souvent un soucis.

Le cas de Chloé est intéressant également, car devant grandir « seule » depuis le départ de son père et le travail de sa mère, elle cherche de l’affection ailleurs et prend la moindre petite attention pour quelque chose de magique quitte à se donner facilement aux garçons sans se rendre compte qu’elle va être jeté comme un mouchoir par la suite. Le voyage va l’aider à avancer un peu la dessus.

Lily elle, renfermée qui souffre d’un harcèlement de la part de deux de ses camarades juste par gratuité mais qui ne dira rien jusqu’à ce que le vase déborde.

Ce sont les évènements qui arrivent à Lily et Chloé qui pousseront Anna à partir plutôt que de régler elle ses soucis financiers. Comme on dit souvent, l’argent ne fait pas le bonheur.

Le besoin de communication se fait sentir entre les protagonistes. Il est important en général, sans quoi il est difficile de construire une relation correcte, avec tous les non-dits qui provoquent parfois des crises, avant mais aussi au moment des révélations mais permettent par la suite d’apaiser les choses.

L’écriture permet de ne pas trop avoir de temps morts, mais aussi de ne pas toujours tout prévoir à l’avance comme souvent et de garder des surprises jusqu’à la fin.

Elvis Cadillac – King from Charleroi de Nadine Montfils

Petit livre, bien sympathique pour aujourd’hui. Pour l’histoire, j’ai connu ce livre grâce à l’émission médicale car Gérard Collard en avait fait la promotion. Parfois, ça a du bon d’être chez les grands parents devant la télé ;).

Résumé : Avec sa chienne Priscilla affublée d’une banane rose, Elvis sillonne les routes au volant de sa Cadillac ornée de cornes de vache pour aller donner des concerts. Abandonné à l’âge de 5 ans près des toilettes d’un restoroute, il a été recueilli par un couple d’épiciers fan de Georgette Plana, et est devenu Ze sosie officiel du King ! Invité à chanter pour l’anniversaire d’une vieille châtelaine, sur l’air de « Blue Moon », il va se retrouver au coeur d’un crime bien étrange, avec en prime une panoplie de pétés du couvercle, dont le chat Houellebecq qui a des mycoses aux pattes. Yeah !

Mon avis : Ce livre se lit assez facilement et ne laisse pas de temps morts, mélant diverses histoires et promettant des surprises jusqu’à la fin du livre, ce qui est agréable. L’attachement à certains personnages est assez simple, pour ma part je suis fan du chat ! Un des personnage des plus fûté du livre.

Le livre étant d’une auteure belge, cela permet d’apprendre un peu de patois, car les expressions sont traduites en fin de chaque chapitre, mais ne perturbe pas la compréhension si nous ne voulons pas tourner les pages pour voir l’explication.

Ainsi, nous avons ici un polar, bein agréable, loin de la noirceur pouvant être trouvé dans certains livres de cette catégorie.

Poppy et les métamorphoses – Laurie Frankel

L’histoire :

Rosie et Penn sont déjà parents de 4 garçons et souhaitent avoir une fille. Quand le cinquième enfant arrive, c’est encore un petit garçon : Claude. Mais Claude grandit, porte des robes, des bikinis, souhaite devenir une fille scientifique plus grand. Comment gérer tout cela au sein de la famille, mais aussi à l’extérieur ?

Mon avis :

Quand j’ai vu ce livre à la librairie, je n’ai pas hésité une seconde avant de le prendre et je ne le regrette pas du tout. Il est touchant avec ce petit garçon, souhaitant être une fille. La question du genre étant de plus en plus présente dans la société, ce livre permet de l’aborder tout en douceur.
Je recherche souvent des livres ou films, qui peuvent être conseillés aux élèves que j’ai en lien avec leurs formations, je pense que celui-ci peut en faire partie du fait de son lien social et sur l’acceptation.

Les crayons de couleurs – Jean Gabriel Causse

Résumé : Elle, c’est Charlotte, aveugle de naissance et scientifique spécialiste de ces couleurs qu’elle n’a jamais vues.

Lui, c’est Arthur, employé dans une fabrique de crayons de couleur, aussi paumé que séduisant.

Ensemble, ils vont tenter de rendre au monde les couelrus qui ont disparu.

Que feriez-vous sans couleur dans le monde ? Le cerveau est lié à ces couleurs, qui nous trompent par moments (de nombreux tests le montrent en jouant avec les colorants et les arômes, la couleur influencera le goût perçu de l’aliment), mais aussi nos émotions, le rouge nous exitant, le vert nous appaisant. Dans ce livre, les couleurs disparaissent à la fermeture de l’usine de crayons de couleurs dans laquelel travaille Arthur. Le monde se met à déprimer, jusqu’à ce qu’Arthur ose aborder Charlotte et lui offre un des crayons issue de la dernière fournée de l’usine. A partir de là, l’espoir renaît petit à petit.

Comme souvent, je me suis laissée emporter par le livre, court, simple, des gros chapitres, mais découpés en petits qui font que la lecture va vite sans s’en rendre compte. Nous en (re)découvrons un peu sur le fonctionnement de notre cerveau avec cette perception des couleurs et leurs effets qui ne fait pas de mal à connaître.

Maintenant, place à un nouveau livre.

Le Ptit Colli de mai

J’avais testé en avril la box, ayant apprécié, j’ai décidé de continuer. Mais plusieurs péripéties ont eu lieux, car avançant dans mes lectures et me rendant compte que tous mes livres ne sont pas mis sur babelio, je décide de mettre le tout à jour. C’est sans manquer un bug avec Collibris pour synchroniser ma bibliothèque. Ayant peur sur les envois, je décide d’abord d’annuler mon abonnement, que j’ai réactivé le 1er mai une fois le problème solutionné. Le service client est pas mal car quand j’ai signalé le problème, j’ai eu une réponse rapide et la personne m’a prévenue quelques jours plus tard de sa résolution.

Ayant vécu l’attente en avril, je ne me suis pas inquiétée du coup sur mai, jusqu’à rentrer un mercredi midi, trouvant la box dans ma boite au lettre (en vrai je savais qu’elle arrivait, l’envoi étant en collisimo, des mails sont envoyés pour prévenir). J’ai donc pu trouver dans ma boite :

  • Je voulais juste vivre – Park Yeonmi
  • Le choix d’une vie – Alia Cardyn
  • Une tablette de chocolat au lait, moi qui ne suit pas fan de ce chocola (j’aime le noir), elle fait l’affaire le matin avec le petit déjeuner ahahah.
  • Un tote-bag, car c’est le mois anniversaire ce que je ne savais pas, et il est bien sympathique !
  • Un code promo pour my-muesli (j’en vois déjà plein sur facebook mais je résiste toujours à en acheter !)

La surprise est totale cette fois-ci, puisque je ne connais pas ces auteures ni les livres. A l’heure où j’écris ces lignes, j’en ai déjà fini un, sur lequel j’écrirais un article.

Je reste donc satisfaite de la box et compte poursuivre les mois qui viennent en fonction des finances !

Test de box – Le Ptit Colli

J’aime tester des choses, en particulier des boxs, quite à être déçue. J’ai ainsi commandé une box en Avril chez le Ptit Colli. Ainsi, je devais recevoir une box avec deux livres au format poche, deux marques pages et des surprises. Le prix étant de 23,80 €, cela est plus élevé que l’achat de deux livres certes, mais la surprise et découvrir des livres reste agréable.

Après l’inscription un questionnaire est mis en place pour pouvoir définir les goûts, savoir jusqu’à quel point je souhaite être surprise dans mes lectures, je peux même synchroniser ma bibliothèque babelio avec le site, cela évitera un éventuel doublon. Ils s’en servent aussi si tu as une wish-list.

Les jours passent, et rien arrive dans ma boite aux lettres, jusqu’à mon départ en vacances, le colis fût livré pile le jour de mon départ. J’ai donc attendu une semaine pour découvrir son contenu :

  • Amélie Nothomb – Le crime du Comte Neuville
  • Jan-Philipp Sendker – L’art d’écouter les battements de coeur.
  • Une sucette au chocolat, qui fût bien bonne ;
  • Deux marques pages comme indiqué plus haut ;
  • Un crayon à papier à planter qui donnera des fleurs. J’aime beaucoup cette idée !

Sur les deux, j’ai lu pour le moment le premier, livre pour lequel j’ai déjà fait un article. Il faisait partie de ma wish-list sur babelio, ce qui explique pourquoi j’ai reçu ce livre je pense, mais comme je veux être surprise et ne pas recevoir que des livres présents dans ma wish-list, j’ai fait du tri sur babelio pour les fois suivantes.

J’avais déjà testé une box de lecture par le passé, que je n’avais pas forcément apprécié car les envois se faisaient sur un thème, la liste étant diffusée à l’avance et les livres reçus ne m’avaient pas plu. J’ai donc voulu réitérer sans rester sur un échec et le choix de cette box semble plus personnalisé et se base sur nos lectures si on indique bien nos choix ce qui me fait me laisser tenter plus facilement.

Le crime du comte Neuville – Amélie Nothomb

Je lis beaucoup d’Amélie Nothomb, quasiment tous même (je dis ça car il y en a qu’elle a écrit à ses débuts que je n’ai pas lu et qui ne me tentent pas).

Je vais donc parler ici du dernier tombé de mes main : Le crime du comte Neuville.

Résumé : Ce qui est monstrueux n’est pas nécessairement indigne.

J’ai envie de dire que ce résumé, est aussi court que le livre. J’aime bien l’écriture d’Amélie Nothomb, mais pas ses livres qui sont trop court et très cher. (Ici, le poche est à 6,40 € pour 150 pages à peu près, et encore parce que les marges sont larges, les interlignes en 1,5 ça aide car je peux lire des livres aussi longs, mais où j’ai plus à manger… C’est d’ailleurs une des raisons qui fait que je n’acchète plus ses livres en neuf mais d’occasion).

L’histoire, une jeune fille noble, décide de dormir dans la forêt et se fait recueillir par une voyante. Cette dernière va faire une prédiction au père lorsqu’il vient récupérer sa fille. Il prétend ne pas y croire, mais cela va longuement le travailler.

En si peu de pages, nous pouvons nous douter que l’intrigue va tourner autour de cette prédiction, et malgré la tournure donnée à l’intrigue, il n’était pas très difficile d’en deviner la fin de l’histoire malheureusement.

Il me reste encore quelques Amélie Nothomb à lire dans ma PAL, mais cela sera doucement mais surement, surtout s’ils ne dépassent pas la soirée de lecture…