Le manuscrit inachevé – Franck Thilliez

Oups ! J’ai eu une période sans publication, je pensais avoir programmé assez d’articles et bien non, et la rentrée, le travail fait que j’ai de nouveau laissé cela un peu de côté, mais les vacances vont aider à rattraper cela, car les lectures, elles étaient bien là ! Et la cuisine aussi ;).

Pour aujourd’hui je vais vous parler du Manuscrit Inachevé de Franck Thilliez.

Résumé :

Aux alentours de Grenoble, une voiture finit sa trajectoire dans un ravin, après une course-poursuite avec la douane. Dans le coffre, le corps d’une femme. A la station-service où a été vu le conducteur pour la dernière fois, la vidéosurveillance est claire : l’homme n’est pas le propriétaire du véhicule.

Léane Morgan et Enaël Miraure sont une seule et même personne. L’institutrice reconvertie en reine du thriller a toujours tenu sa vie privée secrète. Sa vie ? Un mariage dont il ne reste rien sauf un lieu : L’inspirante, villa posée au bord des dunes de la Côte d’Opale, et le traumatisme de l’enlèvement de sa fille Sarah.

L’agression soudaine de son mari va faire ressurgir le pire des quatre années écoulées.

Dans le vent, le sable et le brouillard, une question parmi d’autres se pose : vers qui, vers quoi se tourner, quand l’unique vérité est que tout vous devient étranger ?

Mon avis :

Je ne lis pas beaucoup de roman policier, mais je ne regrette pas souvent quand je le fais ce qui est le cas ici. Cela fait travailler les méninges pour essayer de tisser les liens dans les dossiers, où est Sarah, qui est l’inconnue du coffre, en quoi les affaires sont-elles liées si elles le sont ? Qui est le coupable ? Des certitudes s’installent, disparaissent, reviennent jusqu’à la fin où tout est dévoilé. Au moins je ne suis pas restée sur ma faim en lisant ces pages, j’ai lu le gros du livre en un après-midi sans voir le temps passer et m’ennuyer.

89 mois – Caroline Michel

Synopsis : « J’ai trente-trois ans, ça y est. A quarante ans et des poussières, mon corps sera hors jeu. il me reste donc sept grosses années pour faire un enfant, soit deux mille sept cents jours. Que peut-on faire en deux mille sept cents jours ? Rien. J’en ai déjà mis cinq à construire trois meubles Ikea ».

Jeanne, célibataire, n’a qu’une obsession : devenir maman avant que le temps la rattrape. Elle a fait une croix sur le couple, il lui faut simplement un géniteur. Sa décision ne fait pas l’unanimité auprès de ses amis. Même si parfois elle doute, elle est déterminée à surveiller son cycle, à provoquer les rencontres et à lever les jambes après chaque rapport, sait-on jamais.

Mon avis : Ce livre fait écho aux projets de loi qui se font sur la possibilité d’avoir une aide à la procréation pour les couples homosexuels féminins et les femmes célibataires, même si ce livre n’est pas sorti cette année.

On y retrouve le parcours de Jeanne qui est prête à tout pour assouvir un projet de maternité qui est présent depuis un bout de temps et qu’elle compte bien maintenant mener à son terme. Et sa première intention n’est pas de se rendre en Belgique où en Espagne où la PMA est autorisée mais de passer par des rapports sexuels avec le premier venu qu’importe les risques derrière (qui soit y en passant peuvent mener à l’effet inverse puisque certaines IST mènent à l’infertilité !). Elle visite aussi des sites de petites annonces où des futurs parents sont soit à la recherche de généreux donateurs de sperms, soit proposent leurs services, mais ne s’aventure pas sur cette piste.

Elle ne s’inquiète pas de ce que peuvent ressentir les hommes avec qui elle couche pour essayer de tomber enceinte, pour elle la paternité ne les regarde pas, mais même si certains coups sont d’un soir où occasionnel, certains ne sont pas dupes.

Et que faire avec ce corps, qui malgré tout les efforts possible, ne veut pas procréer ? la encore le lien avec le cerveau et le corps est montré car plus on lui met la pression, moins il y aura de résultats, ce qu’à du mal à comprendre Jeanne quand son gynécologue le lui explique.

Sa vie lui en rajoute une couche puisque ses meilleurs amis et son ex vont devenir parents quand elle essaye désespéremment. Cette envie qui ne rassure pas du tout ses amis au vue des risques inconsidérés qu’elle prend.

Je vais m’arrêter la dessus. A la semaine prochaine !

Le charme discret de l’intestin – Giulia Enders

Résumé :

Surpoids, dépression, diabète, maladie de peau… Et si tout se jouait dans l’intestin ?

Au fil des pages de son brillant ouvrage, Giulia Enders, jeune médecin allemande, plaide avec humour pour cet organe qu’on a tendance à négliger voire à maltraiter. Après une visite guidée de notre système digestif, ell eprésente, toujours de façon claire et captivante, les résultats de toutes dernières recherches sur le rôle du « deuxième cerveau » pour notre bien-être. C’est avec ces arguments scientifiques qu’elle nous invite à changer de comportement alimentaire, à éviter certains médicaments, et appliquer quelques règles très concrètes en faveur d’une digestion réussie.

Dans cette nouvelle édition augmentée, l’uateur fait état des recherches récemment publiées, notamment celles qui précisent l’influence du microbiote sur une bonne ou une mauvaise humeur. Elle recommande également la fermentation de certains légumes : encore une chose dont notre microbiote raffole.

Irrésistiblement illusté par la soeur de l’auteur, la graphiste Jill Enders, voici un livre qui nous réconcilie avec notre ventre.

Mon avis :

Je lis encore une fois les livres après la bataille. Il m’avait fait de l’oeil au moment de sa sortie, mais j’avais attendue sagement une édition en poche (que j’attends toujours ahahah). Mais une visite à la cité de la science et de l’industrie début juillet m’a poussé à l’acheter car il y avait une exposition basée sur le livre. L’exposition était très intéressante et aurait permis aux élèves de mieux comprendre la digestion et l’appareil digestif, mais elle s’est terminée en août, c’est donc loupé pour y emmener des élèves…

En attendant j’ai pu lire le livre, et même si je connais mon appareil digestif, les bactéries (avec mes études en même temps ça aide) et le fait que je me tienne un minimum informé sur le sujet, j’ai pu en apprendre un peu plus sur les liens entre notre microbiome et notre santé.

Le sujet est traité de façon à être compris de tous, et ce n’étiat pas trop vulgarisé pour quelqu’un ayant une formation scientifique, car tout est expliqué correctement et des exemples sont données de façon à ce que tous comprennent le sujet quand cela est un peu trop compliqué et des rappels sont régulièrement fait. D’autant que certaines métaphores peuvent être facilement exploitables derrière en cours ! (Oui je pense souvent au travail.)

L’avantage au final d’avoir attendue c’est d’avoir eu des informations supplémentaires par rapport à l’avancé des recherches sur le sujet. Et j’ai vu à la fin d’autres livres pouvant être intéressant, dont un sur la maladie d’Alzheimer (sujet d’étude d’un de mes profs à la fac mais qui nous rendait le truc imbuvable à nous faire écrire beaucoup, mais j’ai retenu des choses quand même maintenant que je suis confronté à la maladie dans ma famille). Ce sera donc une lecture qui va se rajouter à ma PAL.

La mélancolie du kangourou – Laure Manel

Résumé :

La naissance de Lou aurait pu être pour Antoine le plus beau moment de son existence. Mais la mort de Raphaëlle, son épouse qu’il aimait au-delà de tout, l’a brisé, et il a du créer un lien avec son bébé. Jusqu’à ce qu’il embauche Rose, une pétillante jeune femme à l’irrépressible joie de vivre, pour s’occuper du nourrisson. Parviendra-t-elle à aider Antoine à se révéler comme père et à se reconstruire ?

Mon avis : Ce livre a une longue histoire, car j’ai voulu l’acheter en juin en ayant plus d’une heure d’attente pour mon train de retour à Dijon. Je me suis rendue à la librairie Grangier et ne voulant pas tout bouger les avis posés dessus, j’ai pris celui du dessous, sans regarder la couverture… Et la surprise à la maison, ce n’était pas le bon, mais La délicatesse du homard, de Laure Manel également (livre que j’avais en audio livre déjà, et que j’avais reçu le même mois dans ma box Le Ptit Collis car je ne l’avais pas mis dans babelio…) trois exemplaires cela faisait beaucoup, et j’ai donc pu l’échanger en retournant à la librairie pour l’avoir une bonne fois pour toute.

Dans La Mélancolie du Kangourou, j’ai pu retrouver des similitudes avec le premier livre de Laure Manel, avec la présence d’une grossesse qui ne se passe pas comme prévue, d’un père qui en est blessé après, le deuil à faire par la suite. Mais cela s’arrête-là car les circonstances, les pertes ne sont pas les mêmes.

Le livre se lit assez facilement, avec des chapitres qui ne sont pas très gros, permettant de se dire facilement, encore un petit dernier où de faire une petite pause sans scrupule. Preuve en est je l’ai lu en deux jours, ayant commencé le soir, ma mère en une journée (sachant qu’elle lit rarement autant !).

Le fait que Rose, une des protagoniste, viennent d’un précédent livre (pour enfant d’après ce que j’ai compris) ne pose pas trop de problème à voir l’évolution à l’exception des moments où elle parle de son hospitalisation, de son passé et soit il en est trop dit, soit pas assez pour les personnes n’ayant pas lu La vie en Rose, ce qui est mon cas. C’est un des points négatif au livre. Je n’aime pas être sur ma faim et lire les livres dans le mauvais ordre ! Même si souvent quand cela arrive, l’écriture est faite de façon indépendante et permet de lire le livre sans trop de difficulté (je pense à Guillaume Musso par exemple) j’aime ne rien me faire spoiler pour le cas où je lirais le livre après où ne pas tout comprendre car tout n’est pas détaillé partant du principe qu’il y a un livre racontant les faits.

Sur ceux, à bientôt pour un nouveau livre.

La mémoire du thé – Lisa See

Résumé : Sud-Ouest de la Chine, année 1990. Sur le mont Nannuo, la culture des thés rythme depuis toujours la vie des Akha, un peuple aux méthodes de récolte archaïques et aux principes religieux très stricts. Li-Yan, la première de sa famille à savoir lire et écrire, rejette ces traditions et décide de poursuivre ses études malgré les réticences de la communauté. Mais lorsqu’elle doit faire face à une grossesse non-désirée, la loi Akha tombe et Li-Yan n’a d’autre choix que de tout abandonner – jusqu’à son enfant, qu’elle dépose sur les marches d’un orphelinat, accompagnée d’une galette de thé.

Les années passent, le souvenir de cette tragédie, la hante, tandis qu’à des milliers de kilomètres une jeune femme se lance à la recherche de ses racines.

Mon avis :

Le livre est prenant, j’ai pu découvrir une culture différente, avec des pratiques bien au-delà des nôtres, avec ce petit village qui vit bien loin des habitudes que l’on connait, on le voit évoluer dans le temps avec l’arrivée de la modernité mais un équilibre à trouver avec les traditions qui sont perpétrées. L’enfant unique qui n’a pas lieux, à la place on retrouve des pratiques faisant d’un enfant un rejet humain s’il est né hors-unions, s’ils s’agit de jumeaux… avec un sort terrible puisque les parents finissent par tuer le(s) enfant(s) avant d’être bannis.

La volonté de Li-Yan apparait très tôt pour combattre certaines des traditions et vouloir évoluer la poussant à trouver des solutions pour pouvoir être scolarisée avec l’aide de son instituteur. Qui l’aidera une grande partie de sa jeunesse, même quand ses études supérieures sont compromises. Malgré cette volonté d’éloignement, elle revient toujours à ses racines et se pose des questions sur ce qui aurait pu se passer si elle avait suivi scrupuleusement les lois Akha.

Sa mère est attachante, c’est une femme respectée par son statut de soigneuse et de sage-femme, elle se montre dure mais ira aider sa fille pour protéger sa petite fille, allant à l’encontre elle-aussi des coutumes et anticipant la vie de sa fille pour pouvoir lui venir en aide dès que possible.

Le livre m’a appris des choses aussi sur le thé, sa culture, les choix. C’est affolant de voir des prix de vente pour le thé, mais il est vrai que quand on aime un produit, on peut ne pas forcément compter pour en avoir de la qualité où le collectionner. Mais personnellement je n’irais pas jusque là d’autant plus que je ne bois pas de Pu’er (j’avoue pouvoir en boire un litre par jour, mes choix vont vers le thé noir parfumé bien souvent).

La vie de Yan-Yeh (la fille de Li-Yan) est également présent par petites touches, montrant la difficulté pour elle de s’épanouir par moments du fait de son adoption et de ses racines, les clichés ont la peau dure et une chinoise doit exceller, ce qui n’est pas simple pour elle.

En bref, ce livre est très bien écrit et nous transporte aisément dans un autre monde que le notre.

J’ai lu une grande partie des livres de Lisa See et je suis contente d’avoir eu celui-ci dans ma box du mois de Juillet ce fût une belle et bonne surprise.

Il est grand temps de rallumer les étoiles – Virginie Grimaldi

Résumé :

Anna, 37 ans, croule sous le travail et les relances des huissiers. Ses filles, elle ne fait que les croiser au petit-déjeuner. Sa vie défile et elle l’observe depuis sa bulle dans laquelle elle s’est enfermée.

A 17 ans, Chloé a des rêves plein la tête mais a choisi d’y renoncer pour aider sa mère. Elle recherche de l’affection auprès des garçons, mais cela ne dure jamais. Comme le carrosse de Cendrillon, ils se transforment après l’amour.

Lily, du haut de ses 12 ans, n’aime pas trop les gens. Elle préfère son rat, à qui elle a donné le nom de son père, parce qu’il a quitté le navire.

Le jour où elle apprend que ses filles vont mal, Anna prend une décision folle : elle les embarques dans un périple en camping-car, direction la Scandivavie. Si on ne peut revenir en arrière, on peut chosir un autre chemin.

Anna, Chloé, Lily. Trois femmes, trois générations, troix voix qui se répondent. Une merveille d’humour, d’amour et d’humanité.

Mon avis :

Ce livre s’est lu facilement en vacances, les chapitres courts permettent de se dire facilement, allez j’en lis encore un peu avant de me coucher. Une petite lecture bien agréable du coup.

L’histoire fait écho au statistiques montrant qu’une femme seule avec des enfants est souvent confrontés aux difficultés financières (mon côté prof qui ressort ahahah, comme dit mon frère je ne lâche jamais le boulot mais je n’y peux rien si ce que j’enseigne est tellement varié que j’arrive à trouver des liens souvent). Même si dans le cas d’Anna, elle se démène pour travailler quitte à avoir des horaires atypiques ce qui est souvent un soucis.

Le cas de Chloé est intéressant également, car devant grandir « seule » depuis le départ de son père et le travail de sa mère, elle cherche de l’affection ailleurs et prend la moindre petite attention pour quelque chose de magique quitte à se donner facilement aux garçons sans se rendre compte qu’elle va être jeté comme un mouchoir par la suite. Le voyage va l’aider à avancer un peu la dessus.

Lily elle, renfermée qui souffre d’un harcèlement de la part de deux de ses camarades juste par gratuité mais qui ne dira rien jusqu’à ce que le vase déborde.

Ce sont les évènements qui arrivent à Lily et Chloé qui pousseront Anna à partir plutôt que de régler elle ses soucis financiers. Comme on dit souvent, l’argent ne fait pas le bonheur.

Le besoin de communication se fait sentir entre les protagonistes. Il est important en général, sans quoi il est difficile de construire une relation correcte, avec tous les non-dits qui provoquent parfois des crises, avant mais aussi au moment des révélations mais permettent par la suite d’apaiser les choses.

L’écriture permet de ne pas trop avoir de temps morts, mais aussi de ne pas toujours tout prévoir à l’avance comme souvent et de garder des surprises jusqu’à la fin.

Elvis Cadillac – King from Charleroi de Nadine Montfils

Petit livre, bien sympathique pour aujourd’hui. Pour l’histoire, j’ai connu ce livre grâce à l’émission médicale car Gérard Collard en avait fait la promotion. Parfois, ça a du bon d’être chez les grands parents devant la télé ;).

Résumé : Avec sa chienne Priscilla affublée d’une banane rose, Elvis sillonne les routes au volant de sa Cadillac ornée de cornes de vache pour aller donner des concerts. Abandonné à l’âge de 5 ans près des toilettes d’un restoroute, il a été recueilli par un couple d’épiciers fan de Georgette Plana, et est devenu Ze sosie officiel du King ! Invité à chanter pour l’anniversaire d’une vieille châtelaine, sur l’air de « Blue Moon », il va se retrouver au coeur d’un crime bien étrange, avec en prime une panoplie de pétés du couvercle, dont le chat Houellebecq qui a des mycoses aux pattes. Yeah !

Mon avis : Ce livre se lit assez facilement et ne laisse pas de temps morts, mélant diverses histoires et promettant des surprises jusqu’à la fin du livre, ce qui est agréable. L’attachement à certains personnages est assez simple, pour ma part je suis fan du chat ! Un des personnage des plus fûté du livre.

Le livre étant d’une auteure belge, cela permet d’apprendre un peu de patois, car les expressions sont traduites en fin de chaque chapitre, mais ne perturbe pas la compréhension si nous ne voulons pas tourner les pages pour voir l’explication.

Ainsi, nous avons ici un polar, bein agréable, loin de la noirceur pouvant être trouvé dans certains livres de cette catégorie.

Le lambeau – Philippe Lançon

J’ai dit qu’avec une collègue, nous nous échangions des livres. Ainsi, j’ai pu lire Le lambeau de Philippe Lançon.

Tel un petit cadeau, avant les vacances de Noël, elle m’a déposé le livre sur le bureau que j’occupais ce matin-là en salle des professeurs. Un petit mot de la part de sa maman qui venait de le finir était mis dessus.

Je n’avais aucune idée de ce que j’allais lire, il me semble qu’elle m’en avait parlé avant, mais je n’avais pas retenu le tout.

J’ai ainsi commencé à lire ce livre peu après Noël pour le finir le soir du 31 décembre.

L’histoire :

Philippe Lançon nous raconte au sein de ce livre, les moments avant, pendant et l’après attentat dont il a été victime dans les bureaux de Charlie Hebdo le mercredi 7 janvier 2015.

Mon avis :

Cette histoire est prenante, étant autobiographique, il permet de mettre des mots, d’avoir le ressenti d’une personne au coeur de ces évènements douloureux et qui ont été mobilisateur et générateur d’union de la part de tous. Je n’ai pas vécu ce genre d’évènement, je ne le souhaite pas et ne le souhaite à personne. Cela permet de montrer la réalité derrière ce qu’il se passe, avec les reconstructions physiques, psychiques.

Poppy et les métamorphoses – Laurie Frankel

L’histoire :

Rosie et Penn sont déjà parents de 4 garçons et souhaitent avoir une fille. Quand le cinquième enfant arrive, c’est encore un petit garçon : Claude. Mais Claude grandit, porte des robes, des bikinis, souhaite devenir une fille scientifique plus grand. Comment gérer tout cela au sein de la famille, mais aussi à l’extérieur ?

Mon avis :

Quand j’ai vu ce livre à la librairie, je n’ai pas hésité une seconde avant de le prendre et je ne le regrette pas du tout. Il est touchant avec ce petit garçon, souhaitant être une fille. La question du genre étant de plus en plus présente dans la société, ce livre permet de l’aborder tout en douceur.
Je recherche souvent des livres ou films, qui peuvent être conseillés aux élèves que j’ai en lien avec leurs formations, je pense que celui-ci peut en faire partie du fait de son lien social et sur l’acceptation.

Lectures de 2018

Voici maintenant un point sur mes lectures de l’année 2018, avec à venir pour certains des petits articles.

Janvier 2018 :

  • N’oublie pas d’être heureuse, de Christine Orban ;
  • A la vie, A la… , de Marie-Sabine Roger ;
  • Pars avec lui, d’Agnès Ledig ;
  • La pâtissière de Long Island, de Sylvia Lott ;
  • Le coeur d’une autre, de Tatianna de Rosnay.

Février 2018 :

  • La dernière valse de Mathilda (e-book), de Tamara McKinley ;
  • Mémé dans les orties, d’Aurélie Valogne ;
  • L’appel de l’ange, de Guillaume Musso ;
  • L’instant présent, de Guillaume Musso ;
  • Le restaurant de l’amour retrouvé, d’Ito Ogawa ;
  • La fille de Brooklyn, de Guillaume Musso ;
  • Les suprêmes, d’Edward Kelsey Moore.

Mars 2018 :

  • Au bonheur des ogres, de Danniel Pennac ;
  • La femme du Vème, de Douglas Kennedy ;
  • Sauve-moi, de Guillaume Musso.

Avril 2018 :

  • Demian, d’Hermann Hesse ;
  • Les enfants de la liverté, de Marc Levy ;
  • Patrouille du conte, de Pierre Gripari ;
  • Loin de tout (e-book), J.A. Redmerski ;
  • Entre les lignes (e-book), de Portia Da costa ;
  • Minute papillon, d’Aurélie Valognes ;
  • La meilleure chose qui ne me soit (jamais) arrivée, de Laura Tait/Jimmy Rice.

Mai 2018 :

  • W ou le souvenir d’enfance, de Georges Perec ;
  • La mort du roi tsongor, de Laurent Gaudé ;
  • La secte des égoïstes, d’Eric Emmanuel Schmitt ;
  • Barbe bleue, d’Amélie Nothomb.

Juin 2018 :

  • Ceux qui restent; de Marie Laberge ;
  • Deux petits pas sur le sable mouillé, d’Anne-Delphine Julliand ;
  • Le don d’Anna, de Céciila Samartin ;
  • Le mystère Henri Pick, de David Foenkinos ;
  • Les explorations noctunes, de Mamytwink ;
  • Miss Peregrine Tome 1, de Ransom Riggs.

Juillet 2018 :

  • Souvenir de l’amour, de Jim Fergus ;
  • Miss Peregrine Tome 2 et 3 de Ransom Riggs ;
  • Et je danse aussi (e-book), d’Anne-Laure Bondoux et Jean-Claude Mourlevat ;

Août 2018 :

  • Le retour, de Robert Goddard ;
  • Un appartement à Paris, de Guillaume Musso.

Septembre 2018 :

  • Je reviens te chercher, Guillaume Musso ;
  • Ikebukuro West Gate Park II, d’Ira Ishida ;

Octobre 2018 :

  • Les accoucheuses Tome 1, d’Anne-Marie Sicotte.

Novembre 2018 :

  • Ikebukuro West gate park III, d’Ira Ishida ;
  • Maus tome 1 et 2, d’Art Spiegelman ;
  • Les accoucheuses Tome 2, d’Anne Marie Sicotte.

Décembre 2018 :

  • Les accoucheuses tome 3, d’Anne-Marie Sicotte ;
  • Agenda, de M. Le Prof ;
  • La petite boulangerie du bout du monde, de Jenny Colgan ;
  • Le lambeau, de Philippe Lancon ;
  • Les expressions mosellanes illustrées, tome 1 et 2, de Julien Strelzyk et Loris Romano ;
  • Le dictionnaire moderne, de McFly et Carlito.